Monsieur [J], ancien responsable logistique embauché le 4 septembre 2017, a été licencié pour faute simple le 28 juillet 2020, suite à des incidents répétés liés à son style de management et à son comportement envers ses collègues.
Contestant son licenciement, il a saisi le Conseil de prud'hommes de Pau, qui a rejeté sa demande en validant la décision de l'employeur.
Insatisfait de ce jugement, Monsieur [J] a interjeté appel, remettant en cause la réalité des faits reprochés, la qualité du signataire de sa lettre de licenciement, et alléguant que son licenciement était motivé par des raisons économiques.
La société, en réponse, a fourni des preuves démontrant les difficultés relationnelles causées par le comportement de Monsieur [J].
La Cour d'appel a confirmé la validité du licenciement, en s'appuyant sur des témoignages et des incidents documentés, qui ont montré un management autoritaire et une communication déficiente de la part de Monsieur [J].
La cour a également rejeté la demande de dommages et intérêts de Monsieur [J] pour manquement à l'obligation de formation, estimant qu'il avait bénéficié d'une formation adaptée et que la faute reprochée n'était pas liée à un défaut de formation.
Comentarios